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${ capture(/^/, {
0: (data, captures) => (
data.params.project !== undefined ?
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data.params.collection !== undefined ?
include('#filter-navigation-close-collection', data) :
include('#filter-navigation-search', data)
),
catch: () => console.log('TODO: SHOULDNT GET HERE')
}, data.location, data.location.name) }
${data.collections.reduce(function (acc, col) {
return acc + col.content_count
}, 0)}
${
merge([{ type: 'resize' }], events('resize', window))
// To size
.map(() => (window.innerWidth >= px('70em') ? 'big' : 'small'))
// Deduplicate
.filter(((prev) => (value) => {
const result = prev !== value;
prev = value;
return result;
})(null))
// Include
.map((size) => (size === 'big' ? 'Living Archives' : capture(/^/, {
0: (data, captures) => (
data.identifier === 'filters' ? 'Search / Filter' :
data.params.project !== undefined ? 'Project' :
data.params.collection !== undefined ? 'Collection' :
'Results'
),
catch: () => console.log('TODO: SHOULDNT GET HERE')
}, data.location, data.location.name)))
}
${ data.id[0].toUpperCase() + data.id.slice(1) }
${ events('dom-activate', element)
.take(1)
.map(() =>
request('/cms/' + data.id + '/')
.then((html) => {
const template = document.createElement('template');
template.innerHTML = html;
return template.content.querySelector('.inline-content-block');
})
) }
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Alors qu’une pénurie de logements affecte le centre-ville de Lausanne, de nombreux bâtiments qui abritent des bureaux restent déserts près des deux tiers de la journée, soit trois quarts de l’année, et ceci est particulièrement patent avec l’augmentation du télétravail. Pourquoi ne pas intensifier l’utilisation de ces surfaces peu exploitées au quotidien ? C’est la proposition que présente ce projet à la Rasude, futur quartier en mutation dans le centre lausannois. Une longue barre de bureaux de six étages datant des années 1960 est conservée là où de nouvelles constructions majoritairement dédiées à des espaces de travail devraient s’ériger. C’est à l’intérieur de ce volume que se déploie notre terrain de jeu. Premièrement : les programmes choisis favorisent une activité constante du bâtiment. Espaces de bureaux, de repos, d’ateliers, aussi bien que de préparation culinaire, de fête ou de nettoyage s’entremêlent dans un même volume. Deuxièmement : les typologies de logements présentent différents assemblages de pièces aux fonctions non définies. Alors, l’habitant·e bénéficie d’une liberté d’usage d’une pièce à l’autre, tout en permettant l’intégration d’espaces de travail isolés. Troisièmement : chaque utilisateurice est unique, chaque étage est différent et le collectif s’y installe à chaque fois. Toutes ces règles s’articulent autour d’un élément central : un escalier arborescent qui serpente entre les étages et divise les plans, invitant à diverses stratégies de partition des espaces. Habitant·e, à toi de jouer !