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${ capture(/^/, {
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data.params.collection !== undefined ?
include('#filter-navigation-close-collection', data) :
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${data.collections.reduce(function (acc, col) {
return acc + col.content_count
}, 0)}
${
merge([{ type: 'resize' }], events('resize', window))
// To size
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// Deduplicate
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const result = prev !== value;
prev = value;
return result;
})(null))
// Include
.map((size) => (size === 'big' ? 'Living Archives' : capture(/^/, {
0: (data, captures) => (
data.identifier === 'filters' ? 'Search / Filter' :
data.params.project !== undefined ? 'Project' :
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'Results'
),
catch: () => console.log('TODO: SHOULDNT GET HERE')
}, data.location, data.location.name)))
}
${ data.id[0].toUpperCase() + data.id.slice(1) }
${ events('dom-activate', element)
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request('/cms/' + data.id + '/')
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const template = document.createElement('template');
template.innerHTML = html;
return template.content.querySelector('.inline-content-block');
})
) }
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Les maisons de maître font partie intégrante du paysage vaudois depuis des décennies. Au cours de la recherche théorique, il a été question d’investiguer cette notion à travers des exemples dans l’arrière-pays et en établir une définition. Ces bâtisses, que l’on pourrait donc définir comme un subtil équilibre entre éléments de prestige et activité rurale autrefois fondamentale, font désormais face à l’évolution de la société où les maîtres ne sont plus et l’agriculture perd de son attraction.
Le Château de Gréchon est une maison de maître datant de la seconde moitié du 18e siècle située en périphérie de Moudon. Contemplant ce dernier, l’édifice inhabité se présente sous la forme d’un long corps central ponctué par un pavillon carré à chaque extrémité, agrémenté de jardins historiques et dépendances rurales.
Par la création d’un site d’enseignement d’une discipline agricole, la micro-ferme, le projet vise à restaurer l’image de prestige de l’édifice en le réactivant via une fonction issue du monde rural en tant que haut lieu de sensibilisation sur les thématiques de l’agriculture, du maraîchage et de jardinage destiné à la fois à un public averti et non-averti.
L’intervention architecturale se décline selon chaque partie de l’édifice et ses particularités, donnant lieu à des mesures de conservation sur les parties les plus sensibles du point de vue du patrimoine et une rénovation plus conséquente sur d’autres visant à redonner une cohérence architecturale perdue dans le temps.