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Le projet se situe en périphérie de Marseille, dans le quartier de la Pointe Rouge, proche de la plage et du port de plaisance qui portent le même nom. Il vise à réinvestir un ancien site industriel: la Compagnie de fil de lin fondée en 1918 par Jean Roumilhac. Cet édifice aux proportions étranges est caractérisé par un volume d’ou émergent deux tours de quinze et dix-huit mètres de haut. Il fait face à un supermarché et jouxte d’anciens hangars aujourd’hui à l’abandon. L’ensemble s’organise autour d’une impasse.
A partir ce constat, le projet cherche à redonner un caractère et une perméabilité à cette impasse. Par une série de patios, aboutissant sur un terrain de tennis existant, on crée une porosité piétonne qui relie la corniche au boulevard Mireille Jourdan, transformant l’impasse en ruelle. La pensée Beat, axée sur le voyage et les rencontres, se traduit par une succession de patios qui développe un rythme entre lieux de passage et lieux d’arrêts.
Chaque bâtiment est composé de deux murs aveugles et est donc très ouvert sur deux de ses quatre côtés. Cette règle formelle permet d’introduire une alternance spatiale entre chaque patio - tantôt opaque, tantôt ouvert -. En conséquence, le faîtage des toitures s’alterne de nonante degrés entre chaque volume et dialogue avec le contexte, le faitage des usines environnantes.
Ces principes se retrouvent à l’intérieur des volumes: l’enfilade et la succession de pièces classique se trouve déconstruite, réinventée de manière fluide, grâce à l’invention d’une « porte d’angle ». Ainsi les usages sont multiples, flottants, beats.