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${ capture(/^/, {
0: (data, captures) => (
data.params.project !== undefined ?
include('#filter-navigation-close-project', data) :
data.params.collection !== undefined ?
include('#filter-navigation-close-collection', data) :
include('#filter-navigation-search', data)
),
catch: () => console.log('TODO: SHOULDNT GET HERE')
}, data.location, data.location.name) }
${data.collections.reduce(function (acc, col) {
return acc + col.content_count
}, 0)}
${
merge([{ type: 'resize' }], events('resize', window))
// To size
.map(() => (window.innerWidth >= px('70em') ? 'big' : 'small'))
// Deduplicate
.filter(((prev) => (value) => {
const result = prev !== value;
prev = value;
return result;
})(null))
// Include
.map((size) => (size === 'big' ? 'Living Archives' : capture(/^/, {
0: (data, captures) => (
data.identifier === 'filters' ? 'Search / Filter' :
data.params.project !== undefined ? 'Project' :
data.params.collection !== undefined ? 'Collection' :
'Results'
),
catch: () => console.log('TODO: SHOULDNT GET HERE')
}, data.location, data.location.name)))
}
${ data.id[0].toUpperCase() + data.id.slice(1) }
${ events('dom-activate', element)
.take(1)
.map(() =>
request('/cms/' + data.id + '/')
.then((html) => {
const template = document.createElement('template');
template.innerHTML = html;
return template.content.querySelector('.inline-content-block');
})
) }
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La scène Queer genevoise a vécu sa période d’effervescence dans les années 80-90 mais celle-ci tend à disparaitre aujourd’hui. Situé sur l’emplacement de l’unique squat LGBTQ* maintenant démoli, le projet s’insère comme symbole de la culture « Queer « genevoise. Favorisant ainsi une visibilité positive, il se place également comme « safe-space » pour cette communauté. L’idée de fournir un lieu d’accueil, de soutien et de protection est la raison qui a mené au développement de typologies d’habitations communautaires. Le projet propose une mixité de programmes afin de vivre l’entre-soi et favoriser la rencontre. Ainsi, des locaux pour l’implantation d’associations luttant pour l’inclusivité cohabitent avec du logement, à plus ou moins long terme, et des espaces collectifs. La volonté d’épaissir la limite entre l’espace public ouvert à la ville et celui privé, lieu du repli et de l’intime, a mené à développer une multitude d’espaces interstitiels où la vie en communauté se crée. Cela se développe par succession de seuils, mais aussi par une non-permanence programmatique et une interpénétration de codes urbains dans l’espace domestique. Ainsi le projet propose différentes manières d’habiter pour des personnes désirant partager un même mode de vie.