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${ capture(/^/, {
0: (data, captures) => (
data.params.project !== undefined ?
include('#filter-navigation-close-project', data) :
data.params.collection !== undefined ?
include('#filter-navigation-close-collection', data) :
include('#filter-navigation-search', data)
),
catch: () => console.log('TODO: SHOULDNT GET HERE')
}, data.location, data.location.name) }
${data.collections.reduce(function (acc, col) {
return acc + col.content_count
}, 0)}
${
merge([{ type: 'resize' }], events('resize', window))
// To size
.map(() => (window.innerWidth >= px('70em') ? 'big' : 'small'))
// Deduplicate
.filter(((prev) => (value) => {
const result = prev !== value;
prev = value;
return result;
})(null))
// Include
.map((size) => (size === 'big' ? 'Living Archives' : capture(/^/, {
0: (data, captures) => (
data.identifier === 'filters' ? 'Search / Filter' :
data.params.project !== undefined ? 'Project' :
data.params.collection !== undefined ? 'Collection' :
'Results'
),
catch: () => console.log('TODO: SHOULDNT GET HERE')
}, data.location, data.location.name)))
}
${ data.id[0].toUpperCase() + data.id.slice(1) }
${ events('dom-activate', element)
.take(1)
.map(() =>
request('/cms/' + data.id + '/')
.then((html) => {
const template = document.createElement('template');
template.innerHTML = html;
return template.content.querySelector('.inline-content-block');
})
) }
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Autrefois omniprésents dans les campagnes, les vergers extensifs ont été systématiquement arrachés depuis la fin des années 1940. Depuis, la société s’est transformée, les connaissances arboricoles se perdent et les possibilités de valorisation de la production manquent. A Châbles, comme partout ailleurs, les arbres fruitiers continuent d’être abattus. Le village avait pourtant connu, dans les années 1960, la création d’un important verger collectif. Suite à l’interruption de cette action, le terrain a été morcelé et la plupart des parcelles ne sont plus aujourd’hui cultivées qu’en herbage. Le projet propose une recalcification de l’ancien verger collectif et la création d’un séchoir à fruits. Dimensionné à une échelle villageoise, le bâtiment permet le séchage de la production fruitière locale durant les 5 mois de récolte. Son fonctionnement même sous-tend une production diversifiée et extensive. Le séchoir s’articule autour d’une structure modulaire légère en bois. L’enveloppe extérieure en tôle ondulée et en polycarbonate permet, coté sud, la circulation de l’air nécessaire au séchage des fruits. L’air se réchauffe dans des capteurs et est dirigé vers les armoires de séchage. Selon les besoins, il est ensuite évacué en toiture ou dirigé dans la partie haute du volume où il permet également le séchage de plantes. Le dimensionnement de la façade permet la gestion du tirage par un effet de cheminée thermique.