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${ capture(/^/, {
0: (data, captures) => (
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data.params.collection !== undefined ?
include('#filter-navigation-close-collection', data) :
include('#filter-navigation-search', data)
),
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}, data.location, data.location.name) }
${data.collections.reduce(function (acc, col) {
return acc + col.content_count
}, 0)}
${
merge([{ type: 'resize' }], events('resize', window))
// To size
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// Deduplicate
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const result = prev !== value;
prev = value;
return result;
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// Include
.map((size) => (size === 'big' ? 'Living Archives' : capture(/^/, {
0: (data, captures) => (
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data.params.project !== undefined ? 'Project' :
data.params.collection !== undefined ? 'Collection' :
'Results'
),
catch: () => console.log('TODO: SHOULDNT GET HERE')
}, data.location, data.location.name)))
}
${ data.id[0].toUpperCase() + data.id.slice(1) }
${ events('dom-activate', element)
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request('/cms/' + data.id + '/')
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const template = document.createElement('template');
template.innerHTML = html;
return template.content.querySelector('.inline-content-block');
})
) }
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Le Studio Sophie Delhay a le plaisir d'accueillir Ugo La Pietra, en direct sur le zoom, pour une discussion dans le cadre du semestre de printemps 2023 - La ville comme une maison.
Ugo La Pietra, artiste, architecte et designer, est une figure majeure de la scène radicale des années 1960 et 1970. Dès le début des années 1960, il s'intéresse aux expériences des architectes viennois (Hollein, Pichler...) et s'emploie à briser les séparations entre les formes et les disciplines à travers le dessin, la peinture et l'architecture en explorant le thème de la "synesthésie des arts". En 1967, Ugo La Pietra se radicalise dans sa critique du fonctionnalisme qui, selon lui, asphyxie l'individu. Il développe un "système de déséquilibre" qui, par l'utilisation d'objets, d'environnements audiovisuels et d'immersions, vise à élargir le champ de la perception humaine et à faire du spectateur un participant actif. Dans les années 1970, les zones urbaines deviennent le centre de son attention. Muni d'"outils de décryptage", il arpente la ville dans ses moindres interstices à la recherche de "degrés de liberté". L'artiste se réapproprie et réinterprète méthodiquement l'espace urbain en utilisant la photographie, le film, le dessin et le photomontage. Pour lui, la ville se tisse à travers nos comportements et nos choix : "Habiter la ville, c'est être partout chez soi".
Les fragments architecturals conçus pour la Triennale de Milan en 1996 représentait symboliquement et de manière allusive plusieurs éléments du slogan "Vivre dans la ville", qui constitue le fondement théorique et le projet du travail de La Pietra dans l'espace urbain : briser la barrière entre l'espace public et privé (intérieur/extérieur), réinventer la décoration pour donner un sens à l'architecture (la culture de la fabrication/la culture artisanale), et l'impossibilité d'avoir un impact sur la réalité avec des œuvres créées (le design éphémère/le design interrompu).